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Bovins de boucherie La demande reste timide

Avec des besoins en retrait, les abatteurs n’éprouvent pas de difficulté pour s’approvisionner, notamment dans le secteur allaitant.

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Le climat commercial est lourd, et les tarifs qui peinent à se maintenir pour les allaitantes de choix secondaire. Les vaches R se négocient entre 3,65 et 3,80 €/kg, avec une moyenne comprise entre 3,70 et 3,74 €/kg selon les régions. Les bonnes charolaises lourdes restent peu recherchées dans le sud du pays avec, des cours compris entre 3,80 et 3,90 €/kg.

 

En réformes laitières, les prix des prim’holsteins P+/O– se stabilisent entre 2,82 et 2,87 €/kg sur certains outils, alors que la majorité des P= de poids convenable se négocient entre 2,65 et 2,77 €/kg en fonction du poids et de la finition. En normandes et montbéliardes, les meilleurs sujets se valorisent entre 3,30 et 3,35 €/kg. Les animaux O= se vendent entre 3,10 et 3,25 €/kg.

 

En jeunes bovins, le marché souffre d’un manque de débouchés à l’exportation. Les JB français sont concurrencés par les Espagnols sur le marché italien. Le commerce est très compliqué dans les arrières, ce qui entraîne une tension sur les prix des charolais.

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